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jean-yves le gallou - Page 3

  • Badinter au Panthéon, c’est non !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou, cueilli sur Polémia et consacré à la panthéonisation de Robert Badinter, un des personnages les plus nuisibles de l'ère Mitterrand...

    Un dossier lui sera consacré par Polémia tout au long des prochaines semaines.

     

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    Badinter au Panthéon, c’est non !

    Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
    L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
    L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
    Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
    Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
    En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
    À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
    Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. » Quant aux politiques qui s’associeraient à l’hommage ou regretteraient de ne pas y avoir été invités, ils perdraient tout crédit pour redresser la situation migratoire comme la situation sécuritaire.
    Pour nous, Badinter au Panthéon, c’est non !

    Panthéonisation de Badinter : une provocation ultime du bloc centriste

    La décision de faire entrer Robert Badinter au Panthéon en octobre 2025, sous l’impulsion du pouvoir macroniste, s’apparente à une ultime provocation du bloc centriste. Cet acte, présenté comme un hommage national, n’a rien d’un geste d’unité. Il consacre une figure adulée par la gauche progressiste mais ignorée, voire détestée, par une partie croissante de la population française, lassée d’une justice perçue comme laxiste et déconnectée.
    Badinter, ancien ministre de la Justice sous François Mitterrand, incarne une idéologie antipénale qui, sous couvert d’humanisme, a contribué à l’affaiblissement de l’appareil judiciaire, à la mise sur un piédestal des criminels et au mépris des victimes.
    Badinter est aussi l’homme qui a imposé l’abolition de la peine de mort contre l’avis d’une majorité de Français.
    Cette panthéonisation, orchestrée par un exécutif en fin de règne, sert à la fois de diversion dans un contexte de fragilité du camp présidentiel et d’imposition d’une figure emblématique du laxisme, à l’heure où l’aspiration populaire penche clairement en faveur d’une rupture avec le laxisme judiciaire. Comment des figures gouvernementales comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin et le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau pourront-ils prôner la fermeté tout en célébrant l’apôtre du laxisme ?

    Un symbole national détourné au profit d’une petite élite de gauche

    Loin d’être un acte d’unité nationale, cette consécration s’apparente à une appropriation partisane. Badinter, architecte de l’abolition de la peine de mort en 1981, est célébré pour un « humanisme » qui a sacrifié la protection des citoyens sur l’autel d’un idéal élitiste.
    Si la peine de mort est le grand fait d’armes attribué à l’ancien garde des Sceaux, sa responsabilité dans l’affaire du sang contaminé est complètement tue par les médias de grand chemin.
    Pire : Badinter est célébré pour ce qu’il n’a pas fait. En 1982, avec la « loi Forni », il égalise l’âge de la majorité sexuelle à 15 ans pour les relations homosexuelles et hétérosexuelles, supprimant ainsi le « délit d’homosexualité » qui pénalisait les relations homosexuelles avec des mineurs de plus de 15 ans. Ce texte sera à tort invoqué comme une dépénalisation de l’homosexualité, qui remonte en réalité au code pénal de 1791, sous la monarchie constitutionnelle, et non pas « en République », comme aimait dire le ministre.
    Docile avec les criminels, le personnage savait aussi être rigide pour les crimes d’expression !
    Sa lutte contre le racisme et l’antisémitisme a ainsi ouvert la voie à des lois liberticides, étouffant la liberté d’expression sous prétexte de combattre l’intolérance.
    En sanctifiant Badinter, le pouvoir actuel ne rend pas hommage à la France, mais glorifie un symbole de la gauche, responsable de la déliquescence de la justice. Cette démarche renforce l’idée d’une justice confisquée par une élite vivant en sécurité, au détriment d’une population qui, elle, subit de plein fouet l’héritage de Robert Badinter.

    Le Panthéon, sanctuaire des héros de la gauche, pas de la France

    Le Panthéon, censé honorer les grandes figures qui ont façonné la nation, devient une nouvelle fois, sous cette panthéonisation, un outil de propagande idéologique. Badinter rejoint ainsi une liste de figures principalement issues de la gauche, comme le communiste arménien Missak Manouchian. Cette instrumentalisation traduit une volonté de légitimer une vision progressiste au détriment d’une histoire nationale plus large.
    L’héritage de Badinter, marqué par une « culture de l’excuse » qui dédouane les criminels de leur responsabilité, contraste avec les attentes d’une société confrontée à l’insécurité. En effaçant les victimes au profit des coupables, il a inversé les priorités de la justice, un déséquilibre que cette panthéonisation vient figer dans le marbre. Le Panthéon n’est plus le temple de la France – si tant est qu’il le fût jadis – mais celui de la gauche.

    Jean-Yves Le Gallou et l’équipe de Polémia (Polémia, 8 septembre 2025)

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  • Feu sur la désinformation... (529) : Pourquoi ont-ils assassiné Charlie Kirk ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                                   

    Au sommaire cette semaine :

    Edition spéciale : l'assassinat politique de Charlie Kirk.
    Le militant conservateur américain soutient de Trump a été tué par balle en plein meeting dans l’Utah. 

    L'image de la semaine : Thomas Legrand - Patrick Cohen et les socialistes: un pacte de manipulation du service public !
    Les vidéos de l’affaire Thomas Legrand - Patrick Cohen révèlent au grand jour ce que l’on cachait depuis des années : le service public est privatisé au service de la gauche et de l'extrême gauche.

    Le dossier du jour :  Le meurtre raciste d'Iryna Zarutska, poignardée à mort gratuitement dans les transports en commun 26:41 - 37:08 de Charlotte (Caroline du Nord) le 22 août 2025. Les médias ne parlent de cette affaire que depuis quelques jours suite à une large vague d’indignation sur les réseaux sociaux. Son agresseur, Decarlos Brown, un SDF afro-américain a déjà comparu 14 fois devant la justice.

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    Pastilles de l’info:

    • Bayrou écarté : panique dans l'establishment médiatique
    • France 2 traduit "Wallah" par "Parbleu" : le wokisme atteint des sommets de ridicule
    • Les Berlusconi investissent dans les médias allemands : les nouveaux maîtres de l'information

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Thomas Legrand / Patrick Cohen / Raphaël Glucksmann...

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  • Feu sur la désinformation... (528) : La grande trouille...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Michel Geoffroy et Floriane Jeannin.

     

                                             

    Au sommaire cette semaine :

    Météo de l’info avec Jean-Yves Le Gallou : Lutte contre l’immigration ça bouge en Europe mais pas en France ! 

    L'image de la semaine :  Au 25ème sommet franco-allemand à Toulon, un Macron hilare et bronzé, transformé en guide touristique et en influenceur des réseaux sociaux et un couple franco-allemand qui ressemble de plus en plus à un dessin de Dubout...

    Dossier de la semaine : Sauver le soldat Bayrou ? Les médias à la peine !
    Alors que le premier ministre est comme notre pays, au point mort, les médias se sont emparés de la mascarade de Bayrou sur les "boomers" pour détourner l'attention des vrais enjeux. Un discours qui masque mal la panique du pouvoir face aux prochains rendez-vous politiques des 8 et 10 septembre !

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    Pastilles de l’info:

    • Mercosur : Le nouvel accord qui sacrifie l'agriculture française, passé sous silence médiatique
    • OCS : Le sommet qui prouve que Poutine n'est pas isolé, contrairement au narratif occidental
    • NOVO19 : La nouvelle chaîne "progressiste" qui ressemble étrangement à toutes les autres
    • France 2 : Le nouveau JT de Léa Salamé qui fait déjà flop
    • GPS russe : La mise en scène du brouillage russe supposé de l’avion de d'Ursula von der Leyen
    • Boulanger poignardé à Grenoble : Les médias en pleine inversion accusatoire

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Martin Ajdari, le patron de l'Arcom avec un C comme Censure !...

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  • Entre Moscou et Washington, l’illusion eurosibérienne...

    Nous reproduisons ci-dessous  un point de vue de Balbino Katz (chroniqueur des vents et des marées !...), cueilli sur Breizh-Info et consacré à la question des rêves divergents entre les partisans de l'empire en Europe et en Russie...

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    Entre Moscou et Washington, l’illusion eurosibérienne

    Se rendre au bar de l’Océan, au , un dimanche midi est une épreuve, non seulement car il est souvent bondé, mais parce qu’il est fort malaisé d’y accéder par la rue de la Marine, changée en marché et noire de monde où l’on avance au pas. Pour y parvenir, je choisis les quais, longeant les chalutiers à l’arrêt. Je savais qu’à cette heure mon amie Paule, cette dame sinisante d’esprit sagace, serait sans doute là. J’avais grand intérêt à l’entretenir de cette rencontre à Washington où le président Zelensky, escorté d’une cohorte d’Européens, allait implorer auprès de Donald Trump quelque esquisse de cessez-le-feu.

    Discuter de la Russie avec mon amie est toujours profitable. Elle ne l’envisage pas comme un simple État, mais comme un empire de glaces, dont la capitale, Moscou, a trop longtemps été perçue comme une copie imparfaite de l’Occident, alors qu’elle puise ses rites et sa majesté jusque dans l’héritage de Pékin. Qui se souvient encore que le protocole de la cour impériale russe s’inspirait de celui des empereurs chinois, fruit lointain des chevauchées asiatiques qui avaient pénétré jusqu’au cœur de l’Europe orientale ?

    En marchant, mes pensées s’envolèrent vers Bruxelles, dans ces années 1980 où j’avais rencontré Jean Thiriart. Il avait façonné une partie de l’imaginaire de la droite radicale par sa vision d’une Europe euro-sibérienne. Je m’étais laissé séduire par cette logique de projection continentale, qui promettait à l’Europe un destin impérial de Vladivostok à Dublin. Je me souviens encore du manifeste que j’avais rédigé sous le titre « Pour que la France et l’Allemagne rejoignent le pacte de Varsovie », texte que Guillaume Faye avait relu et encouragé. Placardé sur les murs de la péniche à Sciences Po, il avait désarçonné les communistes, qui nous haïssaient, autant qu’il intriguait la droite libérale, qui nous croyait des leurs. Ce fut un instant d’ambiguïté délicieux, presque schmittien, où l’ami et l’ennemi échangeaient leurs masques.

    C’est dans ce climat intellectuel que j’avais adhéré à l’association France-URSS. Le premier article que je publiai dans leur revue éponyme fut une chronique anodine sur l’exposition d’un peintre russe à Paris, mais pour moi il signifiait un pas de plus : j’entrais dans l’âge adulte avec la conviction d’un destin euro-sibérien, nourri par Thiriart, par la mouvance de la Nouvelle Droite, et par une franche hostilité à tout ce qui portait l’empreinte américaine.

    Je dois ici dire combien j’ai aussi subi l’influence de la revue Elements comme celle d’Alain de Benoist dont la phrase provocatrice qu’il avait lancée : « je préfère porter la casquette de l’Armée rouge plutôt que manger des hamburgers à Brooklyn » m’avait fortement marqué. Jean-Yves Le Gallou s’en est souvenu dans sa contribution au Liber amicorum Alain de Benoist – 2 :  « Quel tollé ! On criait alors au scandale, au moment même où les chars soviétiques semblaient à une étape du Tour de France. Imprudence pour un journaliste de Valeurs actuelles, assurément pas le meilleur moyen de faire fortune, d’être décoré de la Légion d’honneur et d’entrer à l’Institut. Mais quelle lucidité, quand on mesure, quarante ans plus tard, les ravages de l’américanisation du monde ! L’empire, l’empire américain, l’empire marchand fut ensuite et reste encore au centre de ses critiques. Cette condamnation du « système à tuer les peuples », selon le titre d’un livre de Guillaume Faye paru aux éditions Copernic, garde aujourd’hui une pertinence absolue.»

    Puis vint la fin du monde communiste. La désillusion fut rapide, brutale. Ce que nous avions rêvé comme un titan politique n’était qu’une société en ruine, minée de contradictions. Et l’arrivée, dans mon horizon, d’Alexandre Douguine m’obligea à mesurer l’abîme. Ses paroles révélaient que la Russie ne pensait pas comme nous, qu’elle ne voulait pas ce que nous voulions.

    Thiriart, que j’avais tant admiré, restait un rationaliste. Son Eurosibérie était une construction géopolitique, laïque, matérialiste, où l’Europe et la Russie devaient fusionner pour rivaliser avec l’Amérique. Douguine, lui, parlait un autre langage. Là où Thiriart ne voyait qu’un équilibre des puissances, il voyait une mission quasi divine. Là où Thiriart rêvait d’un État continental centralisé et moderne, Douguine convoquait l’orthodoxie, la métaphysique et la mémoire impériale.

    Les différences étaient béantes. Thiriart voulait dépasser les petits nationalismes pour bâtir un peuple continental, rationnel et uniforme. Douguine, lui, affirmait la singularité russe et son rôle messianique, au cœur d’un empire pluriel, bigarré, tourné vers l’Orient. Thiriart voyait l’ennemi principal dans l’atlantisme américain, tandis que Douguine désignait la modernité occidentale tout entière comme l’adversaire à abattre. L’un était stratège, l’autre prophète. L’un citait Schmitt, l’autre Evola.

    Alors j’ai compris que ces deux visions ne se rejoindraient jamais. L’Eurosibérie de Thiriart ne trouverait pas son ciment en Russie, et l’eurasisme de Douguine n’admettrait jamais l’Europe comme partenaire, mais seulement comme province sous tutelle. C’est là que s’est brisée pour moi l’illusion eurosibérienne. Douguine, en s’imposant comme la voix d’une Russie redevenue impériale, a mis fin à ce rêve pour toute une génération européenne. Il a révélé, par sa vigueur même, que notre projet n’était qu’une chimère née sur le papier.

    J’avais cru que nos deux demi-continents pouvaient s’unir dans un même élan. J’ai découvert que les Européens, concentré de faiblesses intellectuelles et morales, sont incapables de ce grand dessein, et que les Russes, enfermés dans leur univers mystique et tragique, ne songent qu’à eux-mêmes.

    En dépassant le kiosque des balades en mer de Soizen, juste en face du bar, la conclusion m’était venue naturellement : nous, Européens d’extrême Occident, sommes coincés. Coincés entre un empire russe auquel nous ne sommes pas compatibles, et un voisin hyperpuissant, les États-Unis, qui représentent tout ce que nous ne sommes pas. Dans notre faiblesse intellectuelle, morale et militaire, nous n’avons d’autre recours que de tendre la main, tantôt vers l’un, tantôt vers l’autre, pour obtenir le droit de survivre.

    J’ai compris ce jour-là que Douguine, par la vigueur de son verbe et la certitude de sa foi, avait clos un cycle. Il était le fossoyeur du rêve eurosibérien, celui qui révélait que la Russie n’avait jamais voulu partager notre destin mais seulement nous absorber. En l’écoutant, j’ai reconnu la fin d’un monde, le nôtre, et Spengler n’avait pas tort : l’Europe chancelle, elle se recroqueville comme un vieil arbre dont les racines pourrissent sous terre.

    Et pourtant, tout n’est pas perdu. Notre péninsule, aussi malade qu’elle paraisse, n’est pas encore tout à fait morte. Elle ressemble à ce corps fiévreux que la médecine croit condamné mais qui attend, peut-être, l’électrochoc qui réveillera son pouls. Le souffle peut revenir, si la volonté renaît.

    Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées (Breizh-Info, 19 août 2025)

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  • Feu sur la désinformation... (526) : L'actualité médiatique estivale !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    Pastilles de l’info:

    • 6ème arrondissement de Paris : Le "Carrefour City" ou le Carrefour Cité ?

    C’est la révolte des élites contre une supérette via une pétition signée par Alain Finkielkraut, Denis Olivennes et des centaines de riverains du quartier, mobilisés contre un Carrefour City. Hypocrisie, mépris de classe ou conservatisme identitaire rationnel ?

    • Loi Duplomb : Le retour des pesticides interdits (acétamipride) sous la pression des lobbys agro-industriels

    Une pétition en ligne sur le site de l'Assemblée nationale contre la loi Duplomb (déjà votée) commence à faire beaucoup de bruit. Certains médias se sont distingués en faisant le service après vente du gouvernement, quand certains politiques se sont positionnés de façons plus ou moins subtiles…

    • X (ex Twitter) VS la justice française : La chasse aux algorithmes !

    Les autorités exigent l’accès aux données privées de X. Une tentative de censure déguisée en enquête, pilotée par des "experts" militants anti-X comme David Chavalarias du CNRS, qui dirige la campagne “Escape X”, anciennement connue sous le nom de “HelloQuitteX”.

    • Pour la fête nationale, l’ARCOM impose la diversité dans les médias !

    Au lieu de promouvoir ce qui rassemble les Français, l’ARCOM a lancé “Nous sommes la France”, une campagne chargée de représenter la diversité de la société française et de lutter contre les “discriminations”, du 14 au 21 juillet. Retour sur la vidéo de France Info qui a braqué le projecteur sur les minorités.

    • Obsèques d’Ardisson : des artistes, des politiques et le petit milieu médiatique

    Cicéron disait que "La vie des morts consiste à survivre dans l'esprit des vivants". Pour Thierry Ardisson, les vivants qui se sont rendus à son dernier hommage avaient tout du panier de crabes : la caste artistico-politico-médiatique !

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Denis Olivennes, l’homme de média de Daniel Kretinsky, milliardaire tchèque...

     

     

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  • Feu sur la désinformation... (525) : Une affaire de pédophilie dont la gauche ne veut pas parler...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image du jour : Bayrou, le budget “choc” qui cache la forêt

    43,8 milliards € d’économies qui évitent soigneusement de parler des vrais problèmes en polarisant notamment sur les deux jours fériés qui devraient disparaître, le 8 mai et le lundi de Pâques. Une proposition de François Bayrou mais surtout une attaque encore et toujours contre le contribuable qui profite de ce jour chômé pour se réunir en famille.

    Le dossier du jour : Pierre-Alain Cottineau, un ancien candidat LFI et militant LGBT, mis en examen et placé en détention pour des actes pédocriminels

    Le Parisien nous a dévoilé du nouveau sur l’enquête concernant l’assistant familial de la région nantaise. Il serait à la tête d’un sordide réseau pédocriminel, dont la plus jeune victime serait un bébé de 5 mois. Une affaire que la gauche ne s’est pas précipitée de condamner et qui n’aura pas fait les grands titres sur Libération, France Info ou encore Le Monde.

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    Pastilles de l’info:

    • La France, premier adversaire de la Russie ? Historique d'une manipulation
    • Désinformation russe : l’enquête biaisée de BFMTV
    • Après BFMTV, Brut bientôt racheté par un milliardaire franco-libanais ?
    • Les incendies de voitures du 14 juillet dont personne ne parle !
    • Intervilles : l’effondrement d’un symbole télévisuel

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Michel Drucker, l'inoxydable homme médiatique...

     

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